Et si l'eau sur Terre provenait d'un gigantesque réservoir souterrain ? C'est ce que pense une équipe de chercheurs qui a découvert un océan situé à plus de 700 km de profondeur, et contenant près de trois fois le volume d'eau présent sur Terre.

Les scientifiques espèrent que cela leur permettra de mieux comprendre le cycle de l'eau sur Terre mais aussi comment la tectonique des plaques déplace l'eau entre la surface et ce réservoir gigantesque situé au cœur d'une roche bleue, connue sous le nom de ringwoodite, à 700 km de profondeur dans le manteau terrestre dans la couche de roches brûlantes située entre la surface de la Terre et son noyau.

 


Le volume d’informations numérisées sera dans huit ans 50 fois supérieur à ce qu’il est aujourd’hui et il faudra dix fois plus de serveurs informatiques pour gérer, retrouver, exploiter cette manne. Sauvegarde de films, partage de photos sur les réseaux sociaux, géo-localisation depuis les smartphones, historiques de navigation sur le web et sur les moteurs de recherche, tout devient information. Chaque minute 350 000 tweets, 15 millions de sms, 200 millions de mails sont envoyés de par le monde. Des dizaines d’heures de vidées sur YouTube, des centaines de milliers de fichiers archivés sur les serveurs des réseaux sociaux.

Étienne Klein, CEA Saclay." Les physiciens n'aiment ni les complications arbitraires ni les hypothèses inutiles. Alors, depuis Newton, ils considèrent que l'espace et le temps sont des entités « lisses », que l'on peut donc représenter par des grandeurs continues : il y aurait partout de l'espace et toujours du temps, sans trouée possible, de sorte qu'on a tout loisir d'envisager des longueurs ou des durées aussi petites que l'on veut, sans jamais atteindre de limites.

Simplement par l’effet d’un amusant quiproquo : Le physicien américain Léon Lederman publiait en 1993 un ouvrage sur cette particule « insaisissable et essentielle à notre compréhension de l’univers ». L’éditeur Dell Publishing a transformé le titre initial « the Godamm Particle (« la damnée particule » ) en un titre plus vendeur : « The God Particle, If the universe is the answeer, what is the question ? »
Cette découverte de première importance permet d'expliquer pourquoi certaines particules ont une masse qui a permis à la matière de s’organiser. Depuis 1994, cette